
Marie des solitudes
Autor: François Raynal
Número de Páginas: 437Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
"La Bête est là. Après tous ces siècles, toutes ces prophéties, la Bête est venue, et Marie... Marie est loin, abandonnée de tous, elle a perdu son courage, sa hargne, sa foi. Mais elle n’est pas seule à sentir la présence de la créature. Car ils doivent être quatre pour abattre la Bête... Les quatre descendants de la lignée de l’hybride, Marie et ses trois frères et soeurs, ceux qu’elle a cherché si longtemps. La haine, les rivalités, leurs choix les ont séparés. Arriveront-ils, ensemble, à plonger l’épée dans le coeur de l’Ennemie ?".
L’idée de ce travail avait été suggérée en 1993-1994 par feu le cardinal Ugo Poletti, alors archiprêtre de Sainte-Marie-Majeure, et trouva une première expression à plusieurs voix dans l’ouvrage collectif dont il avait été l’instigateur : Santa Maria Maggiore e Roma. À la différence de celui qu’avait dirigé le regretté Carlo Pietrangeli : Santa Maria Maggiore a Roma, il devait montrer, non seulement la place de la basilique parmi ses homologues romaines en dégageant, comme il est courant de le faire dans les monographies qui leur sont consacrées, ses caractéristiques architecturales et artistiques, mais encore, ce qui est beaucoup moins fréquent, son rôle dans la vie religieuse de la Ville et de l’Église de Rome, voire de l’Église universelle. J’avais collaboré à l’ouvrage voulu par le cardinal Poletti en esquissant dans cette perspective l’histoire de la basilique du ve au XIIIe siècle. Cette chronologie est restée celle de mon présent travail, sauf que je l’ai élargie en amont par l’examen de la préhistoire de la basilique et en aval par l’usage de la documentation manuscrite d’intérêt cultuel, cœxtensive à tout le Moyen...
Dans une vieille maison des alentours de Genève, Maria Anna et Bastien s'installent pour un séjour particulier. Ne se connaissant pour ainsi dire pas, ils ont décidé d'écrire un livre à quatre mains. Une image va les hanter et les amener à une durable confrontation et à un partage : celle d'une ville et d'une société autres. Bastien est chef d'orchestre, Maria Anna, urbaniste. Animer la ville grâce à un festival qui serait sous le signe du vieil ami WAM (Wolfgang Amadeus Mozart) ? Pourquoi pas ? Mais WAM n'est-il pas, lui-même, un simple exemple et un prétexte ? Sans cette recherche commune de la beauté, une ville est-elle vivable et l'espace de vie est-il habitable ? Mais le beau, ne serait-ce pas d'abord ce qui arrive à un homme et une femme qui font tout ensemble, et qui transforment un livre de recherche en un roman d'amour ?... Et l'événement qui naît entre toi et moi, ne pourrait-il pas grandir pour être, dans l'anticipation d'une fête, la création de nous tous ?
Cormac est prince, moi la fille du tavernier. Nous vivons dans deux mondes totalement différents. Pourtant lui et moi avons été amis autrefois. En secret. Aujourd’hui, il est le prince qui donne les ordres, je suis la serveuse de bière qui doit obéir... et cela fait des années que nous n’avons pas échangé un mot. Je connaissais parfaitement les limites à ne pas franchir et les bonnes manières. Des règles existaient et je les respectais, je me contentais de l’admirer dans l’ombre. Depuis peu, chaque nuit, un valet me conduit aux appartements du prince. Et, chaque nuit, le prince me fait sienne. J’aimerais avoir la force de me refuser à lui, j’aimerais ne rien ressentir, et croire que lui ne ressent rien non plus... Mais à l’évidence, c’est l’inverse qui se produit. Avec la promesse du seul droit qui me revient : celui de souffrir.
1920. Promise au voile depuis l'enfance, Maria s'échappe du couvent avant même d'avoir prononcé ses vœux et retrouve la ferme familiale. Placée comme lingère dans un grand domaine agricole, Sanglard, elle va y rencontrer l'amour et y révéler un caractère d'exception, dans une époque où la place des femmes change radicalement, dans les campagnes comme dans les villes. Dans ce beau roman paysan et féministe, Roger Béteille fait vivre avec une grande intensité de sentiments une héroïne qui s'émancipe progressivement de toutes les entraves.
A partir del análisis de versiones al castellano o al catalán de obra italiana realizada desde el siglo XIX hasta nuestros días, el libro se centra en el estudio de la recepción de la literatura italiana y del papel que la traducción ha desarrollado en el ámbito editorial, ofreciendo vías de reflexión en torno al fenómeno de la traducción literaria. Autores como Pascoli, Leopardi, Carducci, Saba o Buzzati pasan por la mirada analítica y el oficio comprometido del traductor, que a menudo se encuentra con estructuras lingüísticas de difícil correspondencia. ¿Cómo puede el traductor cambiar de lengua un texto y no traicionarlo? ;Aproximándose a las versiones de M. Antònia Salvà, Tomàs Garcés o Narcís Comadira, por citar solo algunos ejemplos, el lector hallará documentados los mecanismos que rigen el proceso de traducción, junto con una valoración de los resultados alcanzados en cada caso. Traducción y recepción de la literatura italiana en España constituye una contribución ineludible al estudio tanto de las relaciones ítalo-españolas, como de la presencia de la literatura italiana en nuestro país.
?uvres compl?tes du v?n?rable Jean Eudes, missionnaire apostolique. Insituteur de la Congr?gation de J?sus et Marie, de lOrdre de Notre-Dame de charit?, et de la Soci?t? des enfants du C?ur admirable de la M?re de Dieu. Auteur du culte liturgique des SS.
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